lundi 19 mai 2008

pouic pouic

les moins de 20 ans ne peuvent pas savoir de quoi je parle, et à leur décharge, pouic pouic était un poulet, et non un pigeon... mais bon, puisque j'en parle, j'ai voué une admiration sans borne à Jacqueline Maillant toute mon enfance/adolescence... en fait ce n'est toujours pas fini (mon enfance/adolescence non plus du reste), mais on n'en parle beaucoup moins, alors j'y pense moins aussi.
c'est bizarre les images qui restent en mémoire ; le jour de sa mort, un portrait d'un Jacqueline Maillant souriante faisait la une d'un magazine télé dont la publicité recouvrait toutes les portes des stations de métro... et c'est presque toujours ça qui me revient en mémoire quand je pense à elle... maintenant il n'y a même plus de porte aux stations de métro... tout fout le camp.




enfin bref, ce dessin est un spécial dédicace à Miss Mel qui adore ces petites bêtes (et tout ce qui s'en rapproche de près ou de loin... voire même d'assez loin genre poisson). passer un moment avec elle dans un parc parisien est une plongée dans le monde merveilleux de la balistique... elle passe son temps à lancer tout ce qui lui tombe sous la main sur ces gentilles petites bêtes pour les éloigner de sa personne... ne surtout rien laisser de précieux, tout y passe. je me suis promis de lui offrir un pistolet à eau un jour de grande bonté, ça fera toujours moins de pigeons estropiés, et moins de chaussures perdues dans les fourrés.
celui-là a eu la bonté de pauser pour moi sur une fontaine devant la Villa Médicis pendant environ 32 secondes... ce qui explique en partie l'approximation du dessin.


et puisque j'étais là, j'en ai profiter pour dessiner aussi un bout de la Villa (un petit bout parce que mon carnet est petit).

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