jeudi 6 septembre 2007

Taïno 1er

Une petite interruption (salutaire ?) de la série sur Venise.

Un petit monstre pour changer (pas Séraphine cette fois, c’est pas toujours elle sui s’y colle).

J’ai été fascinée par la vie qui se dégageait des objets de l’exposition sur les Taïnos (Paris, Grand Palais, il y’a quelques années… je crois que mon dessin est daté de 98). Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’ils étaient habités. J’espère l’avoir retranscrit dans mes aquarelles.

Celui-là est un morceau de collier… comme quoi, la mode des tête de mort, c’est pas nouveau.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Tiens, tiens, tu t'intéresses aux Taïnos ! ... C'est marrant, je n'aurais jamais cru.

C'est certainement la plus belle exposition anthropologique que j'ai vue à ce jour et je rêve encore d'éprouver les indescriptibles émotions ressenties alors.

Ton aquarelle me ramène à cette découverte d'un monde et d'une culture insoupçonnés que je fis comme toi en 1994, au Musée du Petit Palais.

Merci.

calam a dit…

je suis toujours très étonnée de ce que les gens pensent de moi, et ton commentaire ne fait pas exception. je suis ravie que cela te rappelle de bons souvenirs, c'est aussi pour cela que je partage mes dessins ; mais pourquoi est-ce si inattendu que je m'intéresse aux Taïnos ? mes intérêts ont tendance à être très variés. une de mes copines avait coutume de dire que si l'on me parlait de l'élevage des chevaux dans le steppes de Russie, j'étais capable de sortir de ma bibliothèque un bouquin sur le sujet... et c'était à peine exagéré.