paraît qu'il fait chaud...

en Afrique du Sud... en me temps, comme c'est l'été là bas, ça me paraît plutôt normal. une de mes amies, en vacances là-bas (et qui doit souffrir horriblement de la chaleur, alors qu'ici, question chaleur c'est plutôt tranquille en ce moment), a cru bon de m'envoyer une photo d'un éléphant de sur bord de la route...

bah moi aussi je peux le faire !

sans pour autant souffrir de la chaleur.

voeux tardifs, mais voeux quand même

un bon vent à tous pour cette nouvelle année.

je sais, c'est tard, mais j'ai des tas d'excellentes excuses, comme d'habitude... décalage horaire, le désert, pas d'ordinateur... la zone quoi. mais me voilà revenue en terre civilisée (avec la wi fi et tout), et je suis à nouveau en mesure de numériser mes dessins dans un scanner trop petit afin de vous en faire profiter... c'est beau la vie. 

et puis pour la suite en photos : Egypte 2011 

enjoy !

il y en a même une spécial dédicace pour Nicoplaque... il l'a reconnaîtra. 

oui, je sais,

la fréquence n'y est pas trop en ce moment.

c'est un peu (beaucoup) en fonction de l'inspiration, et je n'étais pas très inspirée ces derniers temps. mais bon, ce matin, après avoir fait la fête hier soir (et cette nuit, il faut bien l'avouer... et moi je me souviens de tout parce que je n'ai pas bu, je ne vous raconte pas les dossiers), avoir somme toute très peu dormi et m'être levée à l'aube (super tôt, il y avait encore des gens qui rentraient chez eux pas très frais de leur soirées respectives) et bien je me suis trouvée un peu inspirée... bon un peu hein, faut pas déconner, on est dimanche aussi... juste assez pour terminer un dessin commencé mi-septembre que voici... (un mois pour un dessin, Pffffff, heureusement que ce n'est pas mon métier sinon je serais sous les ponts)

un petit bout d'un patelin de ma campagne.

connaissent pas les lignes électriques enterrées là-bas.

on descend

un peu.

un indice, c'est dans le sud (d'où on descend hein, pour ceux qui ne suivent pas) et vous n'avez plus qu'à trouver où c'est... et celle qui m'a commandé le dessin n'a pas le droit de jouer.

autre indice, actuellement, ce n'est pas tout à fait comme ça, c'est plutôt un port militaire qu'un port de plaisance.

du neuf avec du vieux

ou l'inverse en l'occurrence.

les chinois ont le chic pour démolir tout ce qui est vieux à tout va, en prenant soin cependant de conserver quelques "traces du passé" dont on jurerait qu'elles sentent encore le neuf, ce qui est probablement vrai pour certaines d'entre elles.

ça donne des villes ultra modernes avec des coins pseudo-anciens. c'est curieux mais assez marrant. et franchement, sur les photos, on ne fait pas la différence... y a juste ce crétin avec sa casquette coca-cola qui fout le bordel dans l'ambiance.

Souvenirs

j'ai enfin commencé à jeter un œil sur les photos de mon voyage en chine de ... l'année dernière (ben ouais, j'étais un peu occupée quand même). et par la même occasion, j'en ai tiré quelques aquarelles. je commence par la moins réussie, comme ça vous ne serez pas déçus par la suite... on peut toujours rêver.

qui a paumé les clefs ?

c'est vrai quoi, c'est toujours frustrant une porte fermée.
toujours dans le Forum, toujours pas celui des Halles.

Mont Palatino

un endroit bucolique en pleine ville.

balade au Forum

un des passages qui donne sur le Forum.
non, pas celui des halles.
c'est assez curieux de se balader dans une une ville en apparence normale, et de se retrouver au détour d'une ruelle en face d'un tas de ruines... d'un grand tas de ruines.
ça fait partie du charme de Rome, ce sont les respirations qui manquent cruellement à Paris.

coup de fatigue

vous savez quoi ? trop de boulot tue le boulot. bosser 7 jours sur 7, c'est beaucoup trop, surtout sur une longue période... et dire qu'à la base je suis paresseuse !
au bout du rouleau, je me suis donc accordé une petite pause (une journée à l'échelle de l'éternité, c'est pas grand chose), ce qui m'a permis de reprendre mes pinceaux, une fois n'est pas coutume.
je me suis replongée dans les photos de mon voyage à Rome de l'année dernière, et voilà...

Trévi, revue de détail

un peu moins le temps (après quelques jours de quasi tranquillité, ils ont retrouvé l'emplacement de mon bureau dans l'agence... fichtre, c'en est fini des dessins en pleine journée), donc un tour de pass pass. j'ai fait très peu d'aquarelle à Rome (pour des raisons exprimées ci-avant), mais une tout de même, le 1er ou 2e soir (ben oui, je ne sais plus) de la fontaine de Trévi, réalisée avec l'eau de la dite fontaine... présentée par petits bout, parce que je le vaux bien, et que je ne me suis pas encore lassée de cet outil.

la première fois que j'ai été à Rome (voyage organisé par l'école pendant mes études d'archi), j'avais pris robe noir et tallons hauts pour me refaire la Dolce Vita dans la fontaine de Trévi.
un brin de naïveté m'habitait sans doute encore... quelle ne fut pas ma surprise en arrivant à pied d'oeuvre pour trouver près de 400 personnes bloquant mon accès au bassin... et c'est comme ça jour et nuit... et en plus il y a plein de flics. il a bien fallu me rendre à l'évidence que l'heureux temps du noir et blanc n'était plus.
cela dit, ça vaut tout de même le déplacement, c'est kitsch à mort, et pourtant c'est beau (surtout de nuit quand l'eau est turquoise), un véritable exploit.

suite et fin... jusqu'au prochain numéro

puisque nous sommes revenues sur les hauteurs de la Scala d'Espagna (on est passé plusieurs fois dans le coin, parce que c'est un coin sympa... et qu'il y a une station de métro).
j'ai profité de ma position avantageuse à la terrasse d'un café (en haut à gauche de l'escalier, fait aussi restaurant, et est l'une des terrasses les plus agréables de Rome... même si la musique est un peu forte), pour dessiner une vue un peu plus d'ensemble de la Villa Medici que ma dernière. comme j'avais toujours mon tout petit carnet, il des bouts qui manquent, mais on reconnait tout de même mieux (mais si on reconnait).


et pour finir ce périple à Rome, après avoir manger une très bonne glace sur la place de Santa Maria in Trastevere (melon-kiwi, un détail d'importance), j'ai dessiné :

une poubelle !
et pourquoi pas ? c'est comme les poteaux électriques, ça fait partie du folklore.

un petit goût de revenez y

la plupart des gens qui me connaissent savent que j'aime les fringues (je ne sais vraiment pas par quoi j'ai été trahie), mais ce qu'ils savent moins, c'est que je ne reste jamais plus d'un quart d'heure dans un boutique, en tout cas pas pour moi, ma patience n'y résistant pas... je compense en ayant une technique très efficace (trois tailleurs en 14h fingers in the noze).
ne dérogeant pas à ma sacro-sainte discipline, j'abandonnais Miss Mel dans les frous frous au bout du dit 1/4h pour aller l'attendre au grand air (pollué) de Rome.


largement le temps de dégainer un carnet de croquis et dessiner les façades chaotiques de la région (deux styles s'affrontent, l'hyper ordonnancé, et le moyen-âgeux avec des fenêtres n'importe où... évidemment, le 2e a ma préférence).

Daphné

retour à mon tout petit carnet de Rome.

Faute d'avoir vu la galerie Borghese (faut réserver huit jours à l'avance maintenant, non mais sans blague), et donc la sculpture d'Apollon et Daphné (où Daphné se transforme en arbre pour lui échapper ; une pièce qui m'avait fascinée lors de mes cours d'histoire de l'art il y a ... quelques temps maintenant), je me suis donc rabattue sur un des arbres de ce jardin. en fait, c'est à peu près tout ce qu'il y avait devant le banc sur lequel j'avais été bloquée par un truc sur mes genoux, mais ceci est une autre histoire.



et une petite ruelle, j'adore ça, j'en ai des masses dans mes dessins, et Rome n'a pas fait exception.

pouic pouic

les moins de 20 ans ne peuvent pas savoir de quoi je parle, et à leur décharge, pouic pouic était un poulet, et non un pigeon... mais bon, puisque j'en parle, j'ai voué une admiration sans borne à Jacqueline Maillant toute mon enfance/adolescence... en fait ce n'est toujours pas fini (mon enfance/adolescence non plus du reste), mais on n'en parle beaucoup moins, alors j'y pense moins aussi.
c'est bizarre les images qui restent en mémoire ; le jour de sa mort, un portrait d'un Jacqueline Maillant souriante faisait la une d'un magazine télé dont la publicité recouvrait toutes les portes des stations de métro... et c'est presque toujours ça qui me revient en mémoire quand je pense à elle... maintenant il n'y a même plus de porte aux stations de métro... tout fout le camp.




enfin bref, ce dessin est un spécial dédicace à Miss Mel qui adore ces petites bêtes (et tout ce qui s'en rapproche de près ou de loin... voire même d'assez loin genre poisson). passer un moment avec elle dans un parc parisien est une plongée dans le monde merveilleux de la balistique... elle passe son temps à lancer tout ce qui lui tombe sous la main sur ces gentilles petites bêtes pour les éloigner de sa personne... ne surtout rien laisser de précieux, tout y passe. je me suis promis de lui offrir un pistolet à eau un jour de grande bonté, ça fera toujours moins de pigeons estropiés, et moins de chaussures perdues dans les fourrés.
celui-là a eu la bonté de pauser pour moi sur une fontaine devant la Villa Médicis pendant environ 32 secondes... ce qui explique en partie l'approximation du dessin.


et puisque j'étais là, j'en ai profiter pour dessiner aussi un bout de la Villa (un petit bout parce que mon carnet est petit).

Rome en miniature

je rentre à peine d'une semaine à Rome, et après avoir merdé sur deux trois aquarelles faute de temps (c'est très difficile de prétendre s'arrêter 1/2 heure pour dessiner quand on n'est pas tout seul) et aussi un peu d'inspiration (j'ai fait l'erreur de n'emporter que des carnets de croquis déjà commencés... j'le ferai plus), j'ai fait l'achat d'un carnet miniature, 9cm sur 14cm, et j'ai gribouillé dessus (c'est le terme, parce que j'ai un peu perdu l'habitude de ce format). forcement, quand c'est plus petit, ça prend moins de temps !... enfin, quand il s'agit de feuilles à remplir en tout cas.
du coup, évidemment, il n'y a pas de couleur... on ne peut pas tout avoir.


en haut de la Scala d'Espagna, une des places-qui-n'en-sont-pas-une les plus réussies du monde... en tout cas à moins humble (qui a ricané ?) avis.
j'aurais bien été un max chauvine en disant que cet escalier est une idée française (ce qui est le cas du reste), mais il faut bien rendre à César (surtout dans le coin), c'est un Italien qui l'a dessiné... et j'ai déjà oublié son nom, mais je suis sure que ça se trouve sur internet.

Sainte Marie de la Trinité des Monts (ou une truc comme ça), l'église française en haut de la Scala d'Espagna justement.
et on vera prochainement pour la suite.

la baignade était super sctroumpf

en se promenant dans la jungle (un bout civilisé, avec un sentier et tout, mais quand même, ça le fait comme introduction), on est tombées sur un phénomène étrange : la baignade des sctroumpfs.


photo non truquée.
je crois que c'était des sctroumpfs japonais... ça doit être pour ça qu'ils se sont tous baignés. moi perso j'ai trouvé l'eau un peu... bon en même temps, je m'étais habituée à 32° alors forcément, la petite chute d'eau du torrent de montagne...

je m'en vais comme une princesse

bon, en fait, je vais juste vers la plage sur la photo.


c'est l'avantage de ne pas prendre les photos, il arrive que l'on soit dessus. et là, je n'ai pas résisté à un petit accès de narcissisme... et après tout, je dessine ce que je veux, na !

la sagesse : le retour

aller, encore un peu de sagesse pour la route, on n'en a jamais assez.

toujours selon la célèbre technique de l'eau qui fait baver le stylo.

la sagesse

cette année, je n'ai pas beaucoup dessiné en Thaïlande (pour ne pas dire pas du tout), je vais prendre l'excuse que quand on n'est pas seul, c'est tout de même plus difficile à gérer.
mais ce n'est pas grave, je vais tout simplement tricher un peu, et faire des dessins d'après photo.


un petit éléphant pour commencer (les éléphants d'Asie sont tout de même plus petit que les éléphants d'Afrique... même si tout est relatif), en général symbole de la sagesse, il s'agit de Wassna, une dame éléphante, avec laquelle j'ai fait une petite balade au milieu des hévéas.