mon nouveau boulot...

mon changement de boulot a été principalement motivé par mon envie (besoin ?) irrépressible de partir de mon ancien boulot.
et le choix de mon nouveau boulot a été motivé par ... le désir de ne pas dormir sous les pont principalement (Séraphine m'aurait fait une jaunisse), et la facilité avec laquelle je l'ai trouvé (en trois jours c'était plié... paresse, quand tu nous tiens). je dois avoué que je me suis peu attardée sur le reste, si ce n'est que ça avait l'air plutôt dans une honnête moyenne.
ce qui est le cas d'ailleurs... ne serait-ce quelques défauts que j'aurais pu trouver rédhibitoires s'il s'était agit d'un engagement à long terme... comme la gestion des fournitures...

ça a l'air bête, mais c'est vraiment du quotidien, et donc une chose à laquelle on se heurte tous les jours quand ça marche mal. un point crucial pour le moral des troupes qui échappe bien souvent aux têtes dirigeantes. là par exemple, on est dans une agence d'architecture, et il n'y a pas de règles... et pour le calque il faut pleurer, quand toutefois il n'y a pas carrément une rupture de stock (ce qui était le cas quand je suis arrivée). c'est parfaitement ridicule et contreproductif. alors on se défend comme on peut. on a récemment fêté l'anniversaire d'un collègue, et en guise de cadeaux, tout le monde s'est fendu d'un peu de matériel (de récup pour la plupart, faut pas gâcher), une gomme, un stylo, un rouleau de scotch etc. outre le gag, il était super content d'avoir un peu de matos.
et puis j'ai foutu la honte à mon patron une fois... sciemment. à une RDV avec Vinci (immobilier, promotion, construction etc.) j'ai sorti une règle Bouygues (leur concurrent direct). je crois que j'ai été la seule que cela a fait rire (intérieurement), mais il ne faut jamais s'arrêter au manque d'humour de ses contemporains.